Des chercheurs lausannois ont découvert chez la fourmi de feu un «chromosome social» qui explique pourquoi certaines colonies abritent une seule reine alors que d'autres en comptent plusieurs. Cette découverte pourrait permettre de trouver des parades génétiques contre cet insecte dévastateur. La fourmi de feu tient son nom des brûlures qu'occasionne son venin toxique. Ses immenses colonies provoquent des dégâts aux cultures aux Etats-Unis, en Australie ou en Chine. Jusqu'ici, les techniques de lutte se sont avérées inefficaces.