Les enfants placés de force avant 1981 n’ont plus qu’un mois pour faire valoir leurs droits. Un délai jugé trop court par un groupe informel, composé de personnalités vaudoises, genevoises et neuchâteloises. Elles ont tiré la sonnette d’alarme aujourd’hui, à Lausanne. Principalement parce que de nombreuses victimes ne se sont pas encore manifestées : elles ne sont que 5'700 sur 15'000 potentielles a l’avoir fait.
Ce groupe entend convaincre les Chambres fédérales pour prolonger le délai, fixé au 31 mars 2018 par la Confédération.