Ils jugent que le projet, élaboré par la gauche de la gauche, donnerait naissance à une assurance chère et trompeuse. Selon eux, le coût annuel de la mise en place d’une assurance obligatoire s’élèverait à 300 millions de francs. Une somme qui aurait des conséquences négatives autant sur les entreprises que sur les ménages vaudois.
Le comité rassemble des représentants du PLR, de l’UDC et des Vert’libéraux ainsi que des organisations économiques et la Société vaudoise des médecins-dentistes. Le peuple se prononcera le 4 mars.