Le droit de cité vaudois est sous toit. Le texte a été accepté à une très large majorité aujourd’hui. Durcit, il s’adapte à la loi fédérale sur la nationalité. Les députés ont décidé de ne pas suivre certaines recommandations de la commission. Au final, les communes pourront décider si elles imposent aux candidats à la naturalisation d’avoir vécu un an dans la localité avant de déposer leur demande. Les parlementaires n’ont par ailleurs pas souhaité que les jeunes entre 12 et 16 ans puissent demander à être dispensés de la prestation de serment.