Après quelques jours de retard, Mike Echenard a finalement sorti son porte-monnaie. Comme promis aux Syndicats Chrétiens du Valais, il a commencé à rembourser ses ex-employés en versant un acompte d’un montant de 5'000 francs. Le patron de l’entreprise en faillite doit au total plus de 160'000 francs de salaires et charges sociales. Pour y parvenir, l’homme s’était engagé à vendre des biens personnels.
Les syndicats, qui s’inquiétaient que l’accord ne soit pas respecté, ont lancé une procédure de mise en poursuite aux noms des travailleurs d’1Brik hier. Ils assurent qu’elle sera levée dès que le montant entier sera transféré.