Il a estimé, lors de séance de mercredi, que les travaux demandés à un bureau d’architectes de la région n’ont pas été entièrement réalisés. Il ne veut donc payer que la moitié de la douloureuse. La Municipalité, qui était prête à régler l’intégralité de la note, s’est ensuite ralliée à l’avis du législatif.
La commune est actuellement sous le coup d’une procédure de recouvrement de créance. Elle concerne les frais liés à un avant-projet et une mise à l’enquête pour la construction de 12 villas sur une parcelle communale.