Le canton du Valais a finalisé les études sur les synergies possibles entre la 3e correction du Rhône et le projet de ligne à Très Haute tension Chamoson-Chippis. S’il est techniquement possible d’enfouir la ligne le long de la digue, cette démarche ne s’avère pas compatible avec l’usage récréatif prévu pour les berges du Rhône.
Les ingénieurs mandatés penchent donc pour un enfouissement profond au pied des coteaux ou dans la plaine. Avec une conséquence de taille : un investissement 10 fois supérieur à celui demandé pour une ligne aérienne.
La décision finale reviendra à SwissGrid, promoteur du projet.