Dominique Giroud n’échappe pas à un redressement fiscal de plus de dix millions de francs. En rejetant son recours, le Tribunal fédéral a confirmé la décision des autorités valaisannes. Elles lui réclament des impôts soustraits au fisc entre 2003 et 2010.
En mars 2015, la Commission de recours en matière fiscale du canton avant déjà rejeté un premier recours de l’encaveur.