L’entreprise pétrolière annonce faire recours auprès du Conseil d’Etat. L’objet de la discorde : le montant de 22 millions de francs exigé par la commune en guise de garantie. Le Conseil municipal entend ainsi s’assurer que les éventuels coûts de démolition et de remise en état du site soient couverts.
Mais la firme libyenne rétorque que la mise en veille de la raffinerie n’est que provisoire, et ajoute que s’il devait y avoir un démantèlement, il rapporterait de l’argent plutôt qu’il n’en coûterait.
L’Exécutif de Collombey-Muraz dit ne pas être surpris par le recours de Tamoil, et annonce qu’il ira jusqu’au Tribunal fédéral s’il le faut, pour défendre les intérêts de ses citoyens.
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