L’Etat du Valais veut mieux protéger les troupeaux contre les attaques de loup. En ce sens, une nouvelle politique de protection a été présentée vendredi. Des clôtures électrifiées, des parcs de nuit ou encore des chiens de garde sont notamment proposés.
Les mesures sont financées par la Confédération, sous réserve de quelques conditions. Le canton, quant à lui, soutien les exploitants dans leur démarche d’indemnisation.
30 %, des 150 alpages que compte le canton, sont considérés comme non protégeable. L’une des solutions avancées est la fusion de ces pâturages de haute montagne afin de réunir 300 moutons, au moins, sous la protection d'un berger.