La défense de Claude D. fera bel et bien appel. Elle conteste la prison à perpétuité et l'internement à vie prononcés contre celui qui a tué Marie en mai 2013 près de Payerne.
Aux yeux de ses défenseurs, la cour n'a pas réussi à faire abstraction de la pression de l'opinion publique qui pesait sur le criminel. Elle n'a pas voulu tenir compte non plus de la Convention européenne des droits de l'homme.