C’est ce que conclut le groupe qui a planché sur la question depuis l'annonce des 320 licenciements. Le rapport, rédigé par des experts, la délégation du personnel et Unia affirme que «le site est viable et peut être maintenu». Les propositions qu'il contient permettent d'améliorer les capacités «d'un montant comparable aux mesures d'économies voulues par Novartis». Le document doit être remis le 16 décembre à la direction de Novartis à Bâle.










































