Le syndicat affirme avoir appris avec surprise que certains de ses membres avaient signé un appel contre le projet de 3ème réforme fiscale des entreprises en mentionnant le nom de l’organisation. Unia rappelle qu’il y a 5 mois, la section vaudoise avait accepté les compromis proposés par le Conseil d’Etat à 80% des voix. C’est pour cette raison que le syndicat n’a pas soutenu le référendum lancé par la coalition « Touche pas à mes services publics », et n’a pas soutenu ses militants dans leur combat.
Les Vaudois se prononceront sur cet objet le 20 mars.