Le SPJ doit mieux communiquer avec les parents et les autres intervenants auxquels il a à faire. Les collaborateurs doivent par ailleurs passer d’une culture de l’oral à une culture de l’écrit, afin de sécuriser davantage leurs décisions. C’est ce qui ressort du dernier audit de la Cour des comptes, sur les interventions du Service de Protection de la Jeunesse.
Dans l’ensemble, l’organe de contrôle note une bonne organisation des quatre Offices régionaux de protection des mineurs existants, et un fonctionnement qui permet d’assurer des interventions de qualité. Toutefois, la Cour formule quelques recommandations visant à consolider les éléments existants.