La rencontre a lieu cet après-midi (mercredi). Les syndicats exigent que toutes les alternatives soient examinées et demandent l'annulation des 400 suppressions d'emplois annoncées le 31 octobre dernier sur le site valaisan. En outre, ils prévoient de demander une prolongation jusqu'à février de la période de consultation. Une autre réunion avec la direction du site est d'ores et déjà prévue vendredi, a indiqué à l'ats le secrétaire de la section haut-valaisanne d'Unia. Si le groupe chimique bâlois ne revient pas sur sa décision, une grève d'avertissement a déjà été annoncée par le personnel de l'usine de Viège.