Les dirigeants de Nestlé, le patron Paul Bulcke en tête, se sont succédé mercredi devant le Tribunal d'arrondissement de Lausanne. Ils ont réfuté catégoriquement les accusations de mobbing lancées par une ex-cadre de l'entreprise basée à Vevey, co-responsable de la sécurité alimentaire. Pas de harcèlement, juste un conflit de personnes entre la plaignante et son chef direct de l'époque: le haut management de Nestlé a tenu le même discours mercredi après-midi devant la Chambre patrimoniale cantonale. Le procès se poursuivra en 2016.