D’un coût estimé à quelque 60 millions de francs en 2002, le chantier est désormais évalué à 130 millions. En cause principalement, selon le conseiller d’Etat valaisan Jacques Melly, des surprises géologiques et l’adaptation à de nouvelles normes. Le chef du Département des transports a déclaré vouloir demander un nouveau crédit d’engagement au Grand Conseil l’année prochaine.
Pour mémoire, des députés chablaisiens sont montés au créneau cet automne après que le démarrage des travaux, prévu en 2016, a été reporté faute de budget suffisant.