Tamoil conteste l’idée de constituer une garantie pour assurer la remise en état de son site de Collombey. Les autorités communales l’annoncent aujourd’hui : dans sa prise de position, l’entreprise estime que les conditions ne sont pas réunies pour appliquer la « Lex Tamoil ». En effet, la mise en veille de ses activités ne serait pas assimilable à une cessation définitive. Le groupe pétrolier indique aussi, entre autres, qu’il dispose d’un délai de cinq ans, accordé par l’Etat du Valais, pour se prononcer sur l’avenir du site. Il ne s’exprime donc pas sur les modalités d’une éventuelle garantie.
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