Au lendemain de l’annonce de la décision du Tribunal fédéral invalidant le vote sur le projet Aigle Centre 2020, le comité référendaire donne sa version des faits. Selon les recourants, la Haute Cour « n’incrimine nullement une erreur de procédure », mais plutôt des violations de la loi sur l’exercice des droits politiques, à tous les stades du scrutin du 24 novembre 2013. Par ailleurs, le comité référendaire considère la municipalité aiglonne comme responsable de la non-conservation d’une partie du matériel de vote. Ses membres contestent ainsi les propos tenus par le syndic Frédéric Borloz dans les médias.