Le nouveau Plan directeur cantonal est dans leur collimateur parce qu'il durcit, selon eux, de manière «dogmatique» les conditions du développement économique. Les carcans en matière de surfaces commerciales ou de logements sont au centre des critiques. La troisième adaptation du plan s'est faite «en catimini» alors qu'elle traite de sujets «fondamentaux» pour le canton, a dénoncé la présidente de radicaux Christelle Luisier. Face aux contraintes prévues, la responsable a appelé à refuser «le dirigisme planificateur».










































