Fermé depuis le début de l’année, le Délirium Club à Collombey-le-Grand met la clef sous le paillasson. Après 3 ans d’activité, son patron a déposé le bilan, n’ayant pas réussi à trouver de repreneur. Dans un courrier adressé aux fournisseurs, il explique que ses activités ont souffert des mesures de sécurité imposées par la commune de Collombey-Muraz, notamment après l’agression au couteau survenue devant la discothèque au mois de septembre. Suite à la fermeture ordonnée par les autorités, le Délirium avait estimé ses pertes à quelque 50'000 francs par week-end.