Le géant alimentaire veveysan a vu son bénéfice net chuter de 42% par rapport à l'exercice 2008 pour s'inscrire à 10 milliards de francs.Les effets de change ont notamment eu un impact négatif de 5,5% sur les ventes. «En réalisant une croissance organique de 4,1% dans le contexte difficile de l'année dernière, nous avons été capables de croître plus rapidement que notre industrie», a commenté son directeur Paul Bulcke.
Pour l'année en cours, Nestlé est confiant, malgré une conjoncture encore incertaine. Le groupe vaudois prévoit que les activités alimentations et boissons réalisent une croissance organique plus élevée qu'en 2009.