Nouveau rebondissement dans l’affaire Ségalat. Les autorités vaudoises disposent d'une autre possibilité d'agir contre le généticien français, indique le Conseil fédéral. Laurent Ségalat avait été condamné pour meurtre, mais la France refuse d'exécuter la peine de 14 ans de prison. Berne peut désormais demander à Paris de reprendre la poursuite pénale contre le généticien français. Condamné en 2014 par la justice vaudoise pour le meurtre de sa belle-mère à Vaux-sur-Morges, Laurent Ségalat est aujourd'hui libre en France.