La Commission de gestion du Grand Conseil valaisan aimerait s’assurer que le Conseil d’Etat suive l’affaire Cleusix. Mais ses membres, réunis cet après-midi en séance, n’ont pas pour autant décidé de rouvrir le dossier du chef du service de l’enseignement. Ils se contenteront d’envoyer des questions écrites au gouvernement. C’est ce que nous apprend le site web du Nouvelliste aujourd’hui. Pour le reste, la Cogest s’en tient à ses recommandations de novembre 2014. A savoir, notamment, que le Conseil d’Etat exige de Jean-Marie Cleusix qu’il règle ses différends fiscaux, et que l’exécutif cantonal soit strict en cas d’utilisation du personnel de l’Etat pour une affaire privée et étudie l’opportunité d’une procédure disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement.