Huit ans après sa mise en service, le tunnel de base du Lötschberg sature et a besoin de nouvelles capacités. Fort d'une étude présentée aujourd’hui à Berne, le Comité Lötschberg revient à la charge afin de réaliser les équipements jugés trop chers à l'époque.
La Confédération avait en effet renoncé, pour des raisons de coût, à terminer complètement le tunnel à deux tubes. Aujourd'hui, sur les 34,6 kilomètres, 21 kilomètres ne sont praticables que sur une seule voie. L’exploitant ainsi que les cantons de Berne et du Valais avancent trois nouveaux scénarios d'extension, accompagnés d'une analyse entre coûts et utilité.