Le Grand Conseil valaisan souhaite assouplir les dispositions de Via Sicura sur la circulation routière. Il a invité aujourd’hui le Gouvernement à intervenir en ce sens auprès des autorités fédérales et espère que d'autres cantons lui emboîteront le pas.
Selon l’UDC montheysan Pierre Contat, co-auteur du postulat, la magistrature n'a plus aucune marge de manoeuvre pour l’appréciation des excès de vitesse, le crime étant défini au kilomètre/heure près.
Combattu principalement par la gauche, le texte a finalement été accepté par 74 voix contre 28 et 7 abstentions.