Les opposants valaisans au DPI, le diagnostic préimplantatoire, craignent des débordements. Ils ont exposé ce matin leurs arguments. Selon ce panel de personnalités politiques des milieux conservateurs, l’introduction du DPI ne contient pas assez de restrictions. Ils craignent qu’un procédé de sélection génétique ne s’installe.
Toujours selon eux, cette méthode ne devrait pas être étendue à tous les couples. Par ailleurs, le gaspillage impliqué par la conservation d’embryons surnuméraires les inquiète.Un phénomène que le Mouvement Conservateur Chrétien, qui fait partie du camp du non, qualifie de génocide.
Les Suisses voteront sur cet objet le 14 juin.