Les opposants valaisans à l’initiative populaire sur les bourses d’études ont exposé leurs arguments ce matin. Selon eux, il faut en rester à une politique cantonale dans l’octroi des aides, car chaque canton vit une situation économique différente. De plus, le coût évoqué par les initiants leur paraît exagéré.
Ils défendent en revanche le contre-projet fédéral qui imposerait à tous les cantons de participer au concordat. Celui-ci implique une somme d’allocation minimum, que les opposants estiment suffisante. Selon eux, il est même bénéfique pour les étudiants de travailler à côté de leurs études.
Les Suisses voteront sur cet objet le 14 juin.