Les partisans valaisans du DPI, le diagnostic préimplantatoire, ont exposé ce matin leurs arguments. Selon cette coalition féminine de tous partis, la conservation d’embryons augmenterait les chances de succès de la fécondation in vitro et permettrait de prévenir les grossesses à risque. Mais aussi, d’éviter les avortements souvent induits par le diagnostic prénatal, lequel est autorisé en Suisse après 11 semaines de grossesse.
Les Suisses voteront sur cet objet le 14 juin. Le DPI permettrait de dépister les embryons qui présentent des anomalies de type héréditaire.