Les conditions de détention sont toujours « illicites », selon la vice-bâtonnière de l'Ordre des avocats vaudois. Les propos d’Antonella Cereghetti, qui s’est exprimée aujourd’hui, tranchent ainsi avec ceux de Béatrice Métraux. Fin mars, la conseillère d'Etat déclarait que ces zones avaient été adaptées afin de les rapprocher le plus possible de la vie en détention provisoire. Antonella Cereghetti souligne que les détenus restent plusieurs jours, voire plusieurs semaines dans ces espaces normalement prévus pour un séjour de 48 heures au plus.