Les députés valaisans ont accepté aujourd’hui la voie du compromis concernant la levée du secret médical pour les détenus jugés dangereux. En première lecture, il s’agissait d’obliger les professionnels de la santé à renseigner les autorités en cas de comportement suspect du patient. Aujourd’hui, le Parlement a décidé que ce sont les psychologues ou psychiatres qui devront signaler des faits graves à un médecin de la commission de dangerosité. Lors du débat final, l’Alliance de Gauche et les Verts se sont opposés.