Après avoir analysé le rapport de la Commission de gestion du Grand Conseil, la COGEST, il énumère de manière détaillée les règles de récusation et les intérêts qui doivent être signalés et rendus publics par les membres du Conseil d’Etat. Soit les intérêts économiques. Il renonce en revanche à étendre le contrôle de l’Inspection des finances au Service cantonal des contributions afin de ne pas entrer en contradiction avec la volonté du législateur fédéral et les directives de l’Administration fédérale des contributions.
A noter que selon la COGEST, le Service cantonal des contributions a réagi correctement pour défendre les intérêts de l’Etat, tant sur le plan de la procédure pénale vaudoise que valaisanne.