La forme de cette résistance sera discutée lors de l’assemblée générale du personnel vendredi après-midi, annoncent Unia et les Syndicats chrétiens du Valais. Les syndicats exigent des mesures "qui accompagneront leur perte d’emploi à la hauteur de la déception, de la rancœur et du sentiment d’injustice et d’immense gâchis qui les animent". En outre, un plan social devra aussi atténuer les conséquences des 230 licenciements.
La délégation des employés, elle va rencontrer la direction de la raffinerie demain.