Réuni à la quasi-totalité devant la raffinerie de Collombey, le personnel de Tamoil a adopté cet après-midi une résolution. A l’initiative des Syndicats Chrétiens du Valais et d’Unia, le texte demande à l’entreprise d’abandonner la procédure de licenciement collectif qu’elle a engagée et de déposer une demande visant à activer le chômage technique. Pour mémoire, Tamoil annonçait mardi l’interruption de ses activités d’ici fin mars. Quelque 240 emplois sont menacés, sans compter les entreprises sous-traitantes.
Une délégation officielle composée d'employés et de représentants syndicaux a été constituée. Elle compte rencontrer la direction le 22 janvier prochain.