Le canton de Vaud demande à la France, via Berne, que la peine de 14 ans de prison infligée à Laurent Ségalat soit mise en oeuvre. L'Office d'exécution des peines a transmis aujourd’hui à l'Office fédéral de la justice sa requête, selon les informations obtenues par l’agence télégraphique suisse. La démarche est un troisième volet dans la procédure qui suit l'arrêt définitif du Tribunal fédéral rendu le 9 octobre. Le généticien a été condamné pour le meurtre de sa belle-mère. Citoyen français, il réside en France et ne peut être extradé.