Le syndicat des services publics valaisan s’en prend au Département de la formation et de la sécurité. D’après lui, « les enseignants et les étudiants ont le droit de s’exprimer sur des thèmes publics ». Ils réagissent ainsi à la décision de la semaine passée selon laquelle les instituteurs et leurs élèves doivent s’en remettre au chef de service de l’enseignement Jean-Marie Cleusix pour pouvoir répondre ou non aux différentes sollicitations des médias. Toujours selon le syndicat, cette directive irait à l’encontre de la Constitution suisse et porterait atteinte à la liberté syndicale.