À l’issue d’une enquête administrative, l’exécutif boyard a décidé de supprimer le poste du voyer communal, qui chapeautait jusqu’ici le service. Plusieurs dysfonctionnements ont été mis en évidence en matière de structuration et d’organisation du travail. Par ailleurs, l’enquête a révélé des conflits de compétences entre le voyer communal et l’ingénieur communal. À l’avenir, c’est lui qui dirigera le service. La procédure de licenciement du voyer a été engagée dans le respect de son droit d’être entendu, et avec six mois de préavis.