Des familles de victimes de l’accident de Sierre font recours contre le classement de la procédure par la justice valaisanne, indique la RTS. Une information confirmée par le Tribunal cantonal valaisan. Plusieurs parents de victimes considèrent comme « insuffisante » l’enquête sur les causes de l’accident. Elles évoquent la thèse du suicide - une thèse non privilégiée lors de l’instruction - qui résulterait des effets secondaires d’un fort antidépresseur pris par le chauffeur du car. Une reconstitution organisée au début du mois évoquerait d’ailleurs un coup de volant contrôlé - donc volontaire - de la part du chauffeur.