Le quotidien «Le Nouvelliste» aurait dû donner la parole au patron de la chirurgie de l'Hôpital du Valais dans le cadre de deux articles le mettant gravement en cause en août 2013. C'est ce qu'estime le Conseil suisse de la presse qui admet ainsi partiellement la plainte déposée par le médecin. Selon lui, un média ne peut pas s'abstenir de donner la parole à une personne qui est l'objet de graves accusations. Il estime cependant que le journal «a traité correctement des informations portées à sa connaissance en tentant de les vérifier».