Un groupe de parents de victimes qui ne sont pas satisfaits des conclusions de la justice suisse ont mandaté un bureau néerlandais d’enquêtes forensiques. Il ne s’agira pas de laisser un bus percuter un mur, mais plutôt d’utiliser les connaissances actuelles en termes d’analyses en trois dimensions. Un chauffeur de bus conduira un véhicule similaire à celui qui avait causé la mort de 28 personnes en mars 2012, sur un trajet identique, pendant que des caméras 3D enregistreront ses mouvements. La reconstitution sera effectuée le 2 juillet.