Le Conseil général aura dû s’y reprendre à deux fois avant d’entériner la décision. Après un premier vote en avril, les élus ont accepté lundi par 27 voix contre 17 de modifier le règlement communal sur les droits mutations. Le scrutin a eu lieu à bulletins secrets. Il s’agira dorénavant de taxer les acquéreurs de biens immobiliers au taux maximum autorisé par le canton. Ce nouvel impôt pourrait renflouer les caisses de la Ville de 700 à 900'000 francs par année. Une manière parmi d’autres d’augmenter la marge d’autofinancement de la commune, insuffisante aujourd’hui en regard des investissements à venir.