C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’université de Lausanne et mandatée par la Fondation Missing Children Switzerland. Il s’agit des premières statistiques dévoilées en la matière. La grande majorité de ces enfants enlevés avait moins de 10 ans. Dans la moitié des cas quasiment, c’est un parent qui est en cause. Six des 42 enfants disparus au total n’ont pas été rapatriés. La Fondation Missing Children Switzerland plaide par ailleurs pour l’amélioration du système d’alerte en vigueur. Elle organise une table ronde sur ce sujet dimanche à Lausanne.