Le Tribunal cantonal vaudois a diminué de 16 à 14 ans la peine de prison infligée à Laurent Ségalat, condamné pour le meurtre de sa belle-mère. La justice cantonale a dû suivre la décision du Tribunal fédéral, qui, tout en confirmant sa culpabilité, avait jugé trop élevée la sanction contre le généticien français.
Un recours contre cette décision devant le Tribunal fédéral est possible dans les 30 jours. «Ce n'est pas exclu» selon l’avocat du condamné, même s’il juge secondaire de se battre contre le degré de la peine, alors que Laurent Ségalat continue, comme au premier jour, à clamer son innocence.