«Je conteste formellement que nous ayons sous-estimé la dangerosité de Claude D., je conteste formellement que l'Office d'exécution des peines avait une image idyllique de Claude D. et je pense que le département de la sécurité a été d'une grande transparence» Béatrice Métraux a mis les points sur les i sur le suivi de l’affaire Marie. Lors d’une conférence de presse surprise, la conseillère d’Etat a réfuté toute erreur dans le suivi de l’assassin présumé de la Villardoue. Elle a rendu public et commenté des documents mentionnés par le député lausannois Marc-Oliver Buffat dans une interpellation déposée mardi au Grand Conseil.