Environ 80 cas sur 120 ont été examinés à ce jour et n'ont pas nécessité de durcissement des conditions d'incarcération. C’est ce qu’indique le Département de l'intérieur qui confirme des informations de «24 heures». Le processus d'examen des dossiers, qui concernent les crimes de sang ou à connotation sexuelle, se terminera vraisemblablement en février. Le moratoire de trois mois avait été annoncé à la mi-septembre par la conseillère d'Etat Béatrice Métraux, après le meurtre à Genève de la sociothérapeute Adeline. Quatre recours contre la suspension des sorties ont été déposés et rejetés.