La fermeture de l'aérodrome de Sion prévue par l'armée a provoqué une avalanche d'interventions aujourd’hui au Grand Conseil valaisan. Deux lignes de front étaient perceptibles: les députés qui veulent sauver ce qui peut encore l'être, et ceux qui souhaitent préparer l'avenir sans jets militaires. Oskar Freysinger, Chef du Département valaisan de la sécurité, a assuré que le gouvernement «comprend les soucis» exprimés, mais veut «éviter d'agir en ordre dispersé».