La ville de Sion n'a jamais vraiment été considérée comme un partenaire en ce qui concerne la décision de l'armée de quitter la base aérienne. La municipalité a toujours souhaité la discussion. C’est ce qu’a déclaré aujourd’hui son président Marcel Maurer. Pour lui, ce sont des raisons purement économiques qui ont conduit l'armée au départ. Pour l'avenir, la ville entend poursuivre sur la voie du développement de l'aéroport civil. Quant à la perte annoncée d'une septantaine d'emplois, le président sédunois retient qu'il y a encore sept ans pour trouver des solutions.