Condamné à trois ans et demi de prison, Ignace Rey échoue à obtenir l'effet suspensif à l'exécution de ce jugement. Le Tribunal fédéral déboute l'ex-président de la caisse de pensions des enseignants valaisans, qui se prévalait d'une ultime demande en révision. Dans une décision diffusée aujourd’hui, Mon Repos rappelle que la conformité de la peine privative de liberté a été confirmée par deux arrêts précédents rendus en mai 2012 et en mars 2013. Ignace Rey a été condamné en 2011 pour abus de confiance, escroquerie, tentative d'escroquerie, gestion déloyale, faux dans les titres, instigation à faux dans les titres et blanchiment. Il avait indûment soustrait un montant de quatre millions de francs à la caisse de pensions










































