Aucun accord n’a été trouvé entre le conseiller d’Etat vaudois et le groupe de médias dans le cadre de l’action civile menée contre un journaliste du Tages-Anzeiger pour atteinte à la personnalité.
Concrètement, la suite de la procédure appartient à Pascal Broulis. Il dispose de trois mois pour déposer une demande en justice.