Selon des informations du "Matin Dimanche", confirmées par plusieurs sources, Dominique Giroud conteste une partie des montants exigés par le fisc. Il a saisi la Commission cantonale de recours en matière fiscale. L'encaveur valaisan assure qu'il pourrait être contraint de déposer le bilan en cas d'amende trop salée. A ses yeux, le fisc n’en tient pas suffisamment compte. En décembre 2013, un mois après le début de l'affaire qui porte son nom, le négociant en vins valaisan Dominique Giroud laissait entendre qu'il était en voie de trouver un terrain d'entente avec le Service cantonal des contributions, à qui il avait caché des millions de francs de revenus pendant plusieurs années. Plus d'un an plus tard, l'optimisme n'est donc plus de rigueur.